INSCRIT DEPUIS LE : 24/07/2016 MESSAGES : 472 POINTS : 4043
Sujet: The things we lost in the fire ₪ Riley Lun 25 Juil - 20:30
Riley O'Meara
Ce qui ne me tue pas ...
ÂGE : 34 ans ▽ DATE, LIEU DE NAISSANCE : 1982, 24 mars ▽ ETAT CIVIL : Célibataire ▽ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle ▽ MÉTIER : Journaliste ▽ NATIONALITÉ : Irlandaise ▽ GROUPE : Gardienne ▽ RANG : Anonyme ▽ AVATAR : Jessica Chastain
Caractère
J'suis une boule de nerfs. Un électron libre, fou furieux, qui se heurte à tout ce qui se trouve ou non sur ma route. La colère coule dans mes veines, aussi sûrement que l'oxygène m'est nécessaire pour vivre. Je suis ainsi, un feu ardent, brûlant, hurlant. Rien ne m'effraie assez pour calmer mon trop plein d'énergie. J'aime fouiner là où je le souhaite, remuer certaines choses comme de vieux tas de merde en latence, pour révéler leur odeur putride au grand jour. Rien ne parvient vraiment à stopper ma curiosité parfois malsaine, et, faut le dire … J'ai vraiment une grande gueule. Il faut parfois m'en coller une pour me poser des limites. Mais clairement, 'faut s'attendre à perdre deux ou trois dents en retour. Entre nous, je n'ai rien de féminin, si ce n'est ce minois aux traits fins et fragiles. Je suis impulsive. Irréfléchie. Un type bagarreur dans l'âme. Je me bats comme une pincée du cul referait son vernis doré. Je ne suis pas délicate. J'ai un langage grossier et des réactions de brute. Et j'ai mes idées, bien arrêtées.
Malgré mon tempérament explosif, je suis très attachée à la notion de respect. Je ne supporte pas ces grosses enflures qui pensent avoir plus de valeur que les autres, juste pour une question de fric, de paire de couilles, ou tout simplement de mauvaise éducation. Mauvaise nouvelle : j'ai une grande fierté. Immensément trop grande. Et j'accepte très difficilement de reconnaître mes erreurs.
C'est mon plus grand défaut. La source même de mon déclin là où je réussissais le mieux. Mon instinct primitif m'a coûté cher, puisque j'en ai perdu ce que j'avais de plus précieux. Mon job. Mon amour propre est blessé. À terre. Complètement piétiné. Avec lui, j'ai égaré la confiance que je portais en moi-même. Aujourd'hui, je me suis renfermée dans un tourbillon de rage et d'amertume. Ce n'est toutefois pas le regret qui me colle à la peau. Juste une saloperie de rancœur, un peu trop tenace.
PSEUDO : Marie, pour vous servir! ▽ ÂGE : 21 ans ▽ SCENARIO ? : Non ▽COMMENT AS-TU DECOUVERT LE FORUM ? : Je connaissais déjà le staff ▽ UNE SUGGESTION ? : ▽
Dernière édition par Riley O'Meara le Sam 6 Aoû - 11:40, édité 9 fois
anonyme
Riley O'Meara
INSCRIT DEPUIS LE : 24/07/2016 MESSAGES : 472 POINTS : 4043
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Lun 25 Juil - 20:31
C'est mon histoire ...
... a intérêt de courir vite.
« Je t'aime, petit soleil. »
C'est ce que mon père me répétait chaque soir, lorsque je grognais entre les couvertures parce que je n'avais pas envie de dormir. Après, il embrassait mon front. La plupart du temps, il lissait et écartait aussi les mèches de cheveux sauvages qui me barraient continuellement le visage. Je le voyais sourire distraitement, lorsque son regard se perdait dans les flammes indomptables de ma crinière ébouriffée.
En grandissant, j'ai fini par comprendre que maman avait les mêmes cheveux que moi. J'étais elle, en miniature. En moins tenable. Et en beaucoup plus problématique. Mais papa a toujours été d'une patience et d'une gentillesse sans fond. D'ailleurs, lui comme moi n'avons jamais compris d'où je tenais cette dose d'énergie, d'impulsivité, et d'agressivité. Il était le calme et la douceur incarnée, là où je n'étais qu'une petite boule rousse fumante et trépignante sur place. Je ne sais toujours pas comment il a fait pour me supporter toutes ces années. À sa place, une gamine comme moi, je l'aurai abandonnée sur une aire d'autoroute sans me retourner. Ciao la chieuse.
J'ai provoqué pas mal de soucis quand j'étais gosse. Je n'étais pas du genre à piquer le goûter du pisseux du coin, ni à écrire sur les murs des toilettes. Moi, j'étais réputée pour savoir me battre mieux que les garçons de l'école. Je n'aimais pas vraiment qu'on embête mes amies, et je détestais particulièrement qu'on essaye de soulever ma jupe quand mon père m'obligeait à porter des horreurs pareilles. Sous mon talent de bagarreuse, beaucoup de nez ont pris l'habitude de pisser du sang. Les coquards pleuvaient. Même une fois, un môme de la classe supérieure et au ventre rembourré de gras perdit une dent. Mais il l'avait pas volée celle-là.
Je suis devenue journaliste. Le type de fléau par excellence des grands de ce monde. J'aime déterrer leurs écœurants secrets et les dévoiler au grand jour. Ces raclures ont besoin de sales parasites dans mon genre pour remuer leurs tas d'ordures, histoire de leur recoller les pieds sur terre de temps en temps. J'étais plutôt bonne dans mon domaine. Pas la meilleure, mais pas la plus mauvaise non plus. J'ai dégoté une bonne place au Royaume-Uni. À Manchester même. J'ai quitté l'Irlande, et mon vieux papa. Il avait encore cet éternel sourire rêveur lorsqu'il m'a dit au-revoir à l'aéroport. Son expression était juste un peu plus ridée. Et un peu plus mélancolique que d'habitude.
Et puis les choses se sont renversées du jour au lendemain. Comme un jeu d'échec qu'on balaye avec rage et brutalité. Ma descente en enfer porte un nom. Warner. Je vois le visage de cet enfoiré chaque matin, avant d'ouvrir les yeux pour une nouvelle journée. Warner, c'est ce type influent dont tout le monde connaît le nom. C'est ce type au regard acéré, au visage froid et à l'attitude supérieure. Ce type totalement détestable.
Comme tout investigateur du coin qui se respecte, j'avais entendu parler de cet homme. Je ne l'avais jamais rencontré pourtant, jusqu'à ce qu'on me confie la rédaction d'un article à son sujet, mais sa réputation l'avait largement précédé. Je savais que je m'attaquais à l'un des gros requins du récif. Mais qu'importe ? J'suis pas du genre à avoir froid aux yeux.
Pourtant, ce coup-là, j'étais loin de le voir venir. Lui aussi, d'ailleurs, dans un sens. C'était une fin de journée, froide et humide comme on en voit beaucoup à Manchester. J'étais restée deux heures emmitouflée dans ma veste, sur un bout de trottoir en face du repère de mon gros poisson. Monsieur Warner avait fini par pointer le bout de son nez. Il avait passé le haut portail austère de sa villa de richard hautain, et fusait déjà vers la voiture de luxe qui l'attendait non loin de là. Un chauffeur personnel traînait dans ses pattes, ainsi qu'un garde du corps aussi accueillant qu'un molosse à la gueule tordue. Je l'avais interpellé, mon impitoyable requin, déterminée et excitée de m'en prendre à un tel adversaire. J'avais sortie les mains de mes poches pour les raviver un peu, tout en traversant la rue pour rejoindre la sombre silhouette qui s'était arrêtée. Le regard que Warner avait alors porté sur ma personne était aussi chaleureux qu'un glacier de l’antarctique. D'un sourire carnassier, j'avais aussitôt attaqué en balançant quelques questions embarrassantes sur ses dernières activités fiscales plutôt obscures.
« Qu'est-ce que tu veux, toi ? Tu t'es trompée de quartier. Les putains de bas étages n'ont rien à faire ici. Retourne te faire sauter là d'où tu viens. T'es loin d'être mon genre. »
Sa voix avait été d'un timbre si paisible, et à la fois si désillusionné, que j'avais d'abord cru avoir rêvé. Mais il avait aussi donné l'impression qu'il allait rendre son déjeuné princier d'un instant à l'autre. Sale connard de merde. Mon sang s'était douloureusement figée dans mes veines, avant de repartir frapper mes tempes avec une force alarmante. L'instant d'après, j'envoyai mon poing fracassé le cartilage nasal de ce fumier. Il paraît que je me suis mise à crier en lui sautant à la gorge. Et que nous nous serions réellement battus si son chien de garde ne m'avait pas écrasée contre le haut mur de la propriété avant que je ne l'atteigne une seconde fois.
Les choses changèrent du tout au tout après ça. Car voilà mon malheur, j'avais frappé un homme d'importance. Je n'ai jamais été assez stupide pour imaginer m'en sortir comme ça. Mais je reconnais avoir eu l'audace de penser pouvoir me défendre. Devant la plainte qui fut posée, je répondis qu'il m'avait odieusement insultée. « Pas de preuve, Mademoiselle O'Meara ». Bien sûr que si. J'avais pour moi deux témoins, et la célèbre réputation de ce chien. « Pas de preuve, Mademoiselle O'Meara », avait-on répété. Finalement, j'avais saisi que jamais ses employés ne plaideraient en ma faveur, et réalisé qu'il avait un bien trop habile avocat pour sauver son cul, et condamner le mien.
Je n'ai pas fini en taule avec toutes les bonnes femmes à la poitrine tatouée du coin. Mon patron intervint. Mais s'il parvint à parlementer, à lâcher une belle somme d'argent et à faire retirer les charges déposées devant la flicaille, mon prestige se ternit considérablement. J'ai dû présenter des excuses. Ça m'a rendu malade. J'en ai vomi plusieurs fois en y repensant, après ça. Pire encore, j'ai perdu mon rang. J'ai été reléguée aux articles mineurs, aux compétitions de pêche du quartier voisin, et aux animaux perdus de la vielle cinglée du quatrième étage.
Et si ma vie professionnelle représentait tout pour moi, si le petit soleil de monsieur O'Meara avait soudainement perdu de son éclat, il en fut de même pour cet autre aspect de mon existence. Pour le Monde des Rêves, et tous ses secrets. Tout perdit de son intérêt. Si bien que j'en fini par tirer un trait sur cette onirique aventure. J'ai renié mon statut de gardienne. J'ai rendu ma fierté. Et je les ai tous abandonné, frères d'armes et précieux protégés.
Cinq longues années se sont écoulées, alors que je me traînais partout avec ma face de droguée dépressive. Je n'ai jamais réussi à convaincre mon patron de me confier de nouvelles missions, et de m'accorder sa confiance. J'ai fini par renoncer, persuadée que Warner avait tout fait pour détruire ma carrière à tout jamais.
Jusqu'au jour où mon épaule percuta celle de ma voisine, alors que je rentrais chez moi. Tandis qu'elle m'adressa un petit sourire contrit et s'excusa, j'ouvris subitement les yeux. Qui était donc cette femme que je reconnaissais à peine ? Chétive, voire presque maigre, le visage creux et le regard vide. Où était passée cette femme que j'avais apprécié côtoyer, cinq ans auparavant, avant que je ne me renferme égoïstement sur mon malheur ? Je tombais des nues. Une Égarée vivait à côté de chez moi, sous mon nez, et je ne m'en rendais compte que maintenant. Ma lâcheté était écœurante. Une nouvelle flamme s'alluma dans mon ventre, une furieuse colère contre moi-même.
Ce soir-là, mon sommeil prit un tout autre chemin. Au lieu de repartir dans des rêves sans fin, c'est dans le Monde des Songes que je choisi de me rendre. Il fallait que je l'aide. Il fallait que je rattrape mon aveugle faiblesse. Je ne suis jamais revenue pour rejoindre les rangs. Ça n'avait jamais été mon idée. Car bien qu'une solide détermination était née dans mon cœur d'acier, je n'ai pas eu la bêtise de croire à nouveau que j'étais capable de supporter cette charge. Comment l'ombre de moi-même pourrait réussir, là où ma force et mes certitudes s'étaient fracassées cinq ans plus tôt ?
Pourtant, c'était dans mes veines, dans mon sang. Mon besoin de me battre contre les Cauchemars ne m'avait jamais quitté. Toujours là. Quelque part. Simplement en latence.
Je n'ai pas pu atteindre les songes chaotiques de celle que j'étais venue sauver. J'ai essayé, de toute ma volonté, mais l'imposante silhouette qui s'était dressée sur mon chemin était bien plus tenace que moi. Allez tenir tête à un lieutenant de l'armée des Gardiens. Vous constaterez que la puissance de ses muscles et de ses mots ne feront qu'une bouché de votre obstination. Quand Adam décide que l'un de ses soldats ne passera pas, alors il ne passera pas.
Je n'ai pas été jetée dehors, à la porte du Monde des Songes comme une vulgaire femme exclue et bannie des siens. En quelques paroles, le lieutenant apaisa ma fureur. Et juste après ça, il me mena jusqu'à notre grand chef à tous. C'était impressionnant de pénétrer dans les quartiers du Faiseur de Rêves. Mais ça l'était encore plus d'apprendre qu'il avait lui-même exigé ma présence en ces lieux, en découvrant mon retour dans son étrange univers. Il ne me permit pas de courir jusqu'à l'inconscient torturé de ma voisine. En réalité, bien d'autres projets à mon sujet lui trottait dans la tête.
Il me confia un autre égaré. J'ai protesté. J'ai pesté, et m'y suis rudement opposée. J'ai crié autant que j'ai pu et gesticulé dans tous les sens, pour montrer mon mécontentement, pour le persuader que c'était une bien mauvaise idée. Je ne voulais pas d'un autre protégé. Je ne voulais pas reprendre mes fonctions, autrement que pour le temps d'aider celle qui m'avait inconsciemment poussé ici. Je n'étais pas prête. Et je ne voulais pas l'être.
« Ce rêveur a besoin de ta force et de tes capacité pour retrouver ce qu'il a perdu. Les songes de ton amie ne sont pas aussi écorchés que les siens. Occupe toi-en, mon enfant, et je te promets d'aider celle qui est chère à ton cœur. »
Je me souviens l'avoir regardé. Je me souviens l'avoir silencieusement imploré. Mais qui étais-je donc pour rechigner ? Une honteuse déserteuse doublée d'une insubordonnée, devant le sage pardon du Maître de ce monde. Je ne pouvais que me plier, et accepter, de brûlantes larmes amères au coin de l’œil. Je me suis retrouvée enchaînée à un nouveau problème, loin d'être capable de m'y confronter. Tout bonnement parce que l'âme en peine que l'on m'a confiée n'aurait pu être aussi importante et terrifiante à mes yeux.
Qui donc ? Un seul mot. Warner.
Dernière édition par Riley O'Meara le Sam 6 Aoû - 12:01, édité 2 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Lun 25 Juil - 20:48
Bienvenuuuuue bon courage pour ta fiche!
Invité
Invité
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Lun 25 Juil - 21:38
Bienvenue parmi nous !!
N'hésite pas si tu as des questions
anonyme
Riley O'Meara
INSCRIT DEPUIS LE : 24/07/2016 MESSAGES : 472 POINTS : 4043
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Lun 25 Juil - 21:55
Merci vous deux
Invité
Invité
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Mer 27 Juil - 9:46
Coucou et BIENVENUE!!!! Bonne chance pour ta fiche!!!
banni
Aiden Fawkes
INSCRIT DEPUIS LE : 01/06/2016 MESSAGES : 1443 POINTS : 4883
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Jeu 28 Juil - 12:49
Hellow ! Bienvenuuue ! :D
anonyme
Riley O'Meara
INSCRIT DEPUIS LE : 24/07/2016 MESSAGES : 472 POINTS : 4043
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Sam 30 Juil - 23:33
Merciiii
lieutenant
Shin Lee
INSCRIT DEPUIS LE : 05/08/2014 MESSAGES : 2335 POINTS : 10664
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Dim 31 Juil - 14:55
Tiens, j'avais oublié de passer par ici Bienvenue à toi donc, tu sais où nous trouver en cas de besoin Bonne chance pour cette fiche !
anonyme
Riley O'Meara
INSCRIT DEPUIS LE : 24/07/2016 MESSAGES : 472 POINTS : 4043
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Ven 5 Aoû - 22:23
Je préviens juste que je vais avoir besoin d'un petit délai supplémentaire pour ma fiche Je ne vous oublie pas, je n'ai juste pas encore eu le temps de finir l'histoire
Invité
Invité
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Dim 7 Aoû - 23:02
Félicitation !
- Tu es enfin validé(e) -
« Voilà une fiche bien torturée pour un perso bien torturé ! Et comme j'adore les sadiques, toi je t'aime déjà ! J'ai adoré ta fiche que j'ai dévoré de bout en bout et une mention spéciale pour l'intervention du grand Manitou J'ai tellement hâte de voir Ryry évoluer parmi nous ! Bons jeux sur PUR »
FÉLICITATIONS ; j'ai le plaisir de t'annoncer que ta fiche de présentation est validée. Tu fais maintenant partie de la grande famille qu'est Pour un Rêve . Comme tous petits nouveaux validés, tu as droit à ton petit cookie qui sort tout juste du four. Dès que tu auras terminé ta dégustation (attention souffle, c'est chaud) tu pourras commencer à RP. Mais avant toute chose, il va te falloir passer par quelques petites étapes. Tu as du lire le règlement avant ton inscription mais un petit rappel ne fait pas de mal. Parce que j'en suis sûre que tu ne veux pas voir un autre membre avec la même tête que toi, va vite recenser ton avatar dans le bottin. Ensuite tu iras créer ta fiche de lien car un cookie c'est bien bon mais à un moment donné, il faut se faire un raison un cookie n'a pas vraiment de la conversation. Pour toutes autres demandes (logement, métier...) ce sera là.Tu vas sûremenht vouloir joindre tous tes nouveaux amis non ? Alors c'est par ici pour faire joujou avec toute cette technologie ! Tu veux sûrement que ton nouvel amoureux, que ta meilleure amie ou que ta petite famille te rejoigne ? Alors cours par ici pour accéder aux scénarios. Après tout ça, tu pourras enfin RP et d'ailleurs pense à créer ta fiche de RPs.
SOIS HEUREUX PARMI NOUS ET AMUSE TOI BIEN
MADE BY .ANGELUS
anonyme
Riley O'Meara
INSCRIT DEPUIS LE : 24/07/2016 MESSAGES : 472 POINTS : 4043
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Lun 8 Aoû - 19:48
Merci
Invité
Invité
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Mar 9 Aoû - 18:56
Bienvenue à toi officiellement, j'adore ta fiche!!! J'espère qu'on aura un lien entre nos deux persos
anonyme
Riley O'Meara
INSCRIT DEPUIS LE : 24/07/2016 MESSAGES : 472 POINTS : 4043
Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley Mar 9 Aoû - 19:35
Avec plaisir
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Sujet: Re: The things we lost in the fire ₪ Riley
The things we lost in the fire ₪ Riley
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