Because your butt is my obsession [Sirius & James // And it's a hot topic baby]

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Because your butt is my obsession

Sirus & James

Mon regard traîne paresseusement sur les pâtisseries joliment rangées par Morgan dans le présentoir réfrigéré. Cette dernière se meut désormais avec assurance entre les clients, déclame avec passion les bienfaits du chocolat et des épices. Une grande fierté m'envahit à chaque fois, elle a apprit tellement vite, s'est tellement impliquée, je n'ai jamais été aussi reconnaissant envers une femme. Et puis mon regard est attiré par un jeune homme dans le fond de la pièce. Il me rappelle quelqu'un, fortement. Ce joli brun qui a partagé ma folle nuit récemment et dont je n'arrive pas à oublier les désirables fesses. Je laisse échapper un soupir. Pourquoi je pense encore à lui moi. Il va falloir que je sorte ce soir.

***

La journée est passée avec une horrible lenteur. Je suis rentré chez moi à toute vitesse. Je me suis habillé aussi sexy que possible et pourtant. Je suis encore chez moi. Je regarde bêtement mon téléphone. Je le fais ou je le fais pas ? Il est vingt-et-une heure. Est-ce qu'il sera disponible ? Je soupire en m'emparant de l'objet rectangulaire. C'est normalement le jour de la Licorne. Mais je n'ai pas envie de chercher parmi les inconnus un nouveau plan. J'ai plutôt envie de poursuivre ce qu'on a commencé l'autre fois à l'hôtel. Il a dû partir au lever du jour, me laissant avec ma terrible envie. Je crois que je m'en suis pas remis. J'ai quand même réussi à lui donner mon numéro. Mais il ne m'a pas rappelé. Je pensais que le message était pourtant bien reçu.

Je devrais peut-être juste passer à autre chose. Après tout, c'est lui qui loupe un bon coup. Et en même temps, je ne crois pas du tout à ce que je viens de penser. Bon en tout cas, c'est de lui dont j'ai envie là maintenant, je ne vois pas pourquoi j'essaierais pas. Mon téléphone débloqué, je cherche dans mes contact le nom de la constellation et lance l'appel.

Et pendant que l'infâme bip de la sonnerie retentit, je me demande comment je vais l'aborder. S'il décroche pas j'aurais l'air bien con. D'autant que s'il me dit qu'il est pas libre, j'aurais l'air encore plus con. Bordel j'ai bouffé quoi pour que je sois dans cet état ? Le son de l'interlocuteur qui décroche me rappelle. De ma voix la plus charmante, je lance rapidement :

« Salut Sirius, c'est James, je voulais savoir, tu es occupé ce soir ? »

L'instant s'éternise alors qu'au bout du fil, mon beau brun semble chercher quoi répondre. Et puis finalement, il m'annonce qu'il est bel et bien libre. D'un mouvement du bras je serre le poing, exprimant un « yes » silencieux puis je redeviens sérieux avant de dire avec enthousiasme.

« Cool ! Bouge pas alors, j'arrive ! »

Et je raccroche. Il n'aura pas le temps de dire non. A à la limite, juste de fuir de chez lui, ou, d'appeler les flics. Mais bon, j'espère qu'il ne fera pas ça. De nouveau de bonne humeur, je me redresse de mon lit et me précipite à la cuisine, cherchant une bouteille de vin pas trop mal. Quoi de mieux qu'un bon vin pour lancer la conversation ?

Je me précipite à ma voiture, lance le GPS à son adresse que mon téléphone a sagement gardé pour moi de la dernière fois et je me mets en route. Une fois devant chez lui, alors que j'éteins les phares, je me sens un peu bête. Depuis quand je fais ça? Pourquoi je ne lui ai pas simplement demandé s'il avait envie de tirer son coup ce soir ? Merde. Bon. Je suis là maintenant, alors autant y aller. Sortant de ma voiture, je m'empare de la bouteille sur le siège passager puis me dirige vers la porte d'entrée. Plus stressé que je ne le pensais, mon doigt appuie sur déclenche la sonnette.

MademoizelleZ

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James & Sirius

Because your butt is my obsession

Un soupir détendu s’échappe doucement de mes lèvres. L’eau chaude qui submerge mon corps me fait un bien fou. Je ferme les yeux, profitant de ce moment de calme reposant. Mes muscles se détendent, mon attention plongée sur la musique se jouant dans la pièce. La journée à été rude. J’avais réussi à vendre quelques tableaux, non sans jouer à ce jeu détestable qu’était les faux semblants. Je détestais me vendre. Je détestais tout de cet univers aux antipodes de la personne que j’étais. Et pourtant, je n’avais pas le choix. Maintenant, au moins, je n’avais plus à me soucier de pouvoir ou non payer mon loyer pendant plusieurs mois. Et ça, ça valait bien un bon bain.

La mélodie jazzy mêlée aux effluves du parfum que dégageait le bain étaient un bonheur. Depuis quand est-ce que je n’avais pas profiter comme ça ? Je pensais bien que c’était la première fois que j’oubliais complètement l’horreur de ma situation. Après des mois, je commençais enfin à effleurer l’habitude d’être devenu aveugle. Et ça me faisait un bien fou.

Je sursautai lorsqu’une sonnerie stridente retentit dans l’appartement. C’était mon portable, m’annonçant un appel avant de prononcer le nom de l’appelant d’une voix robotique. James ? Avais-je bien entendu ? Pourquoi ? Pourquoi maintenant ? Sans plus y réfléchir, je m’extirpais du bain, faisant attention à ne pas me casser une jambe, me précipitant tant bien que mal sur mon téléphone, à l’autre bout de l’appartement. Presque à bout de souffle, je décrochais à la hâte, priant pour ne pas louper l’appel.

« Allô ? »

J’eu à peine le temps de comprendre ce qu’il me demandait. Si j’étais libre ce soir ? J’hésitais, pendant ce qui me semblait être une éternité. Est-ce qu’il voulait m’inviter à sortir ? Ce soir ? A cette heure ? Je fini par lui avouer n’avoir rien de prévu, triturant mes lèvres de mes doigts en une bonne vieille habitude, avant de réaliser ma bourde. Je m’étais promis que ce ne serait qu’une nuit. Lui et moi. Une seule et unique nuit en sa compagnie. Je ne l’avais d’ailleurs pas rappeler, persuadé que toute cette histoire n’avait été que pour un soir. James ne semblait pas vraiment du même avis. La suite me prit complètement de court. Quoi ? Comment ça il arrive ? J’ouvrais la bouche pour lui répondre, prit d’une légère panique mêlée d’incompréhension. Il n’allait tout de même réellement pas.... ? Mais je n’eu pas le temps de dire quoi que ce soit, il avait déjà raccroché, comme si ma réponse n’avait aucune importance à ses yeux. James venait de s’inviter chez moi, comme ça, comme si rien ne pouvait être plus normal. Et il était déjà en route.

L’information avait du mal à percuter jusqu’à ce que je bondisse de ma chaise, réalisant la situation. James allait arriver. D’une minute à l’autre. Et moi, j’étais complètement à poil, sortant de mon bain, mes cheveux dégoulinant encore à grosses gouttes alors que mon appartement était tout sauf présentable. Merde.

Je pris mon élan pour retourner rapidement dans la salle de bain, jura en me cognant contre un meuble en voulant aller trop vite. Je fis s’échapper l’eau du bain, attrapait une serviette pour me sécher en vitesse tout en me dirigeant vers la chambre, essayant d’éviter Floki dans mes pieds, tout excité qu’il était de ma propre excitation soudaine. C’était vraiment pas le moment. Réfléchissant rapidement, j’essayais de me souvenir de la manière dont j’avais organisé mon dressing même si j’en avais pris l’habitude, laissant le stress prendre toute la place face à mon organisation. Pourvu que je n’enfile pas un truc dégueulasse. Cette fois, je n’avais pas l’aide de Sarah, il fallait que je me débrouille seul.

Tout en enfilant mon t-shirt à longues manches après avoir choisi un jeans, je ne pouvais m’empêcher à cette fameuse nuit à l’hôtel. Ce n’était pas une bonne idée de remettre le couvert. Je le savais. Et pourtant, je ne pouvais m’empêcher d’en avoir horriblement envie. Après tout... C’est lui qui voulait me revoir. Pas moi. Ce n’était donc absolument pas ma faute si il se passait quelque chose. N’est-ce pas ? Oui, évidemment. Et si il découvrait qui j’étais ? Qu’est-ce que je lui dirais ? Qu’est-ce que je pourrais faire ? Rien. Il n’y avait aucune chance qu’il le sache, ou même qu’il le devine. Et puis... Rah !

A nouveau, un bruit strident résonna horriblement dans les oreilles, me faisant presque tomber à la renverse alors que Floki abboyait comme un fou. Quoi ? Il était déjà là ? Non ! J’avais même pas eu le temps d’essayer de ranger ! Soupirant de rage contre moi-même, je passais rapidement mes doigts dans mes cheveux, dans le maigre espoir de ressembler à quelque chose tout en me glissant jusqu’à la porte. Je m’arrêtais devant, vérifiais mon haleine, prenait une grande inspiration pour tenter de me calmer avant d’intimer l’ordre à Floki de se taire et de s’asseoir à mes côtés. Enfin, ma main enclencha la poignée alors que je m’armais d’un sourire que j’espérais charmant. La porte s’ouvrit à peine que son parfum embauma mes narines, arquant un sourire plus sincère sur mes lèvres. Son odeur m’avait manqué. Cruellement.

« Hey... »

Et voilà, je n’avais aucune idée de quoi dire. Le laisser entrer peut-être ? Oui, voilà ce qui serait intelligent. Mais ça, c’était avant que Floki ne reprenne du service. Je le sentais bouger à mes côtés, excité comme une puce, puis me fit presque éjecter contre la porte. Mais qu’est-ce que ? Ne me dites pas qu’il venait de lui bondir dessus !

« Floki, couché ! »

Le rouge aux joues, ma main partait à la recherche de mon chien, s’accrochant abruptement à son collier pour mieux le ramener à moi plus rapidement. Puis, je le relâchais, l’écartant stratégiquement de la porte pour laisser passer mon invité.

« Désolé. Il t’aime bien on dirait. Floki, va au panier. »

Je sentais la boule de poil m’échapper et priait littéralement pour qu’il m’écoute et aille se coucher à sa place. Reprenant contenance, je ramenais une fois encore mes cheveux en arrière avant de me tourner vers James, un sourire incertain aux lèvres.

« Entre, je t’en prie. Désolé, c’est sans doute le bordel... J’ai pas eu le temps de ranger avant que tu arrives. »

(c) BlackCat

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Because your butt is my obsession

Sirus & James

Peu enclin à ce qu'il refuse de me voir ce soir je n'avais pas attendu sa réponse et je me suis pointé chez lui. Mais maintenant je me sens con, derrière sa porte, une bouteille de vin dans la main, des aboiements de chien en guise de musique de mise en attente. Un gros chien qui plus est. J'espère que ça va passer. Enfin, la porte s'ouvre. J'arbore mon plus beau sourire avant de parler.

« Hey ! »

Dis-je en réponse. J'allais m'approcher de lui pour l'embrasser, parce que j'en avais eu soudainement envie en le voyant, mais – et c'était sûrement un signe pour que je ne le fasse pas – Sirius se retrouve rapidement hors de ma portée et moi presque éjecté à l'extérieur par le poids de l'énorme chien blanc. Je rattrape mon équilibre juste à temps, de peur que ma précieuse bouteille ne se fracasse, puis j'accorde enfin de l'attention au chien blanc comme neige à qui visiblement cela ne plaît pas d'être ignoré ! Je me penche vers lui pour glisser ma main dans son poil.

« Doucement mon grand, hé...voilà voilà je te caresse.... »

Au son de la voix de Sirius qui rappelle son chien, je cesse mes cajoleries et me redresse. Sirius s'avance dans notre direction pour attraper le dénommé Floki, en tâtonnant. C'est vrai qu'il n'y voit rien, j'ai du mal à me mettre cette information en tête. Il m'invite à entrer pour de bon, et je me glisse près de lui, l'observant sans vergogne. Ses cheveux sont mouillés, son jean et son t-shirt vont à peine ensemble... L'aurais-je surpris dans sa douche ? C'est vrai qu'il n'y a pas long de trajet entre nos domiciles...En tout cas il sent bon et même dans cette tenue, je le trouve diablement sexy. Un nouveau sourire s'invite sur mes lèvres. Je repense à notre bain ensemble. C'était...Tendre ? Bon sang, en fait, il ne faut pas que je pense à ça ? Heureusement, il reprend la parole, m'arrachant à ces drôles de pensées. Il s'excuse, je laisse échapper un rire.

« Je préfère qu'il m'accueille à coup de léchouilles qu'à coups de dents ! Je l'aime bien aussi ! »

La boule de poil obéit sans mal à son maître et va sagement se coucher. Mon sourire s'étale davantage en voyant la truffe du chien se tourner automatiquement vers son maître. C'est...mignon. Je secoue la tête. Ah non non non. Mon attention se reporte sur le beau brun qui se tient en face de moi qui s'excuse encore. Une moue réprobatrice face à tout ce dénigrement, je regarde autour de moi. Une jolie pièce, conviviale, chaleureuse. Tout le contraire des murs gris et vides de mon appartement.

« Du bordel ? Où ça ? »

Mon ton est celui de l'humour, mais il est aussi sans appel. Bordel ou non, ce n'est pas important. Par contre, le fait qu'il précise qu'il n'a pas eu le temps de ranger avant que je n'arrive me fait me sentir un peu coupable. Je me gratte un peu la nuque avant de décider que non, je ne m'excuserais pas.

« Tu aimes le vin ? J'ai apporté un Chardonnay. »

Je me rapproche doucement de lui avant de prendre une de ses mains et la placer sur la bouteille pour qu'il puisse explorer l'étiquette si ça lui chante. Ou juste parce que j'ai horriblement envie de le toucher et que je n'ai pas envie d'attendre. Je suis tout près désormais, ma voix se traduit dans un presque murmure.

« D'ailleurs...est-ce que tu as mangé ? On pourrait peut-être commander quelque chose ? Je commence à avoir faim. »

Je me mordille la lèvre, ma main n'a pas lâché la sienne. Je suis prêt à le libérer si jamais je vais trop vite. Mais notre proximité me donne déjà envie de lui. Ma bouche est déjà bien trop près de la sienne.

MademoizelleZ

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James & Sirius

Because your butt is my obsession

Le rire de James m’éclate aux oreilles. Ok, il se fiche éperdument du bordel que peut être mon appartement. Tant mieux. Ca me rassure, me permet de reprendre mon souffle que je n’étais même pas conscient d’avoir retenu. Il ignore ma remarque sur le fait qu’il se soit invité chez moi pour me présenter une bouteille de vin en main, que j’ai presque peur de laisser tomber dans la manoeuvre. James me déstabilise encore. Beaucoup trop. Comme la dernière fois. Impossible de me détendre en le sentant si proche, impossible d’être moi-même, d’essayer d’être un minimum plus cool. Aller Sirius, reprends toi, vite.

« Oh... Oui... Merci. J’ai hâte de le goûter. »

C’était sans compter sa voix tel un murmure à mon oreille. Il n’en faut pas plus pour me faire rougir. Il est trop près. Beaucoup trop près. Je sens son souffle contre ma peau, je me sens frissonner des pieds à la tête alors qu’il n’a encore rien fait. Et ses mot n’arrange rien. Est-ce que... Est-ce qu’il parle vraiment de nourriture au moins ? Je déglutis avec difficulté. Bon sang Sirius, on dirait un ado, c’est pathétique. Soit un homme un peu. James n’est pas du genre à faire dans la dentelle après tout. Tu le sais. Et pourtant, je n’arrive pas à me résonner. C’est... trop.

« Non, pas encore. Quelque chose te ferait envie ? Installe toi, j’arrive. »

Je fini par reprendre contenance sans savoir comment, lui offrant mon plus beau sourire en m’extirpant de son emprise. J’ignore les poils irisés sur ma nuque pour me diriger vers la cuisine, lui laissant la bouteille pour qu’il la ramène au salon alors que je vais chercher des verres. Mes doigts tâtonnent légèrement à la recherche de la bonne armoire, puis fini par sortir ce qu’il faut dans un bruit léger. Je récupère l’ouvre bouteille, referme le tiroir d’un coup de hanches avant de revenir dans le salon armé de mon sourire. Ce n’est qu’après avoir déposé le tout sur la table que je prends place, tâtonnant encore pour m’assurer d’avoir une place libre pour ne pas lui atterrir dessus. Enfin, je suis assis. Et encore gêné, évidemment.

« Et si on commandait asiatique ? Ca fait une éternité que je n’ai pas mangé ça. »

Ma main récupère l’ouvre bouteille, puis la bouteille en elle même. Je m’applique à l’ouvrir, satisfait à l’entente du bruit du bouchon qui éclate à mon oreille. L’odeur du bon vin m’enrobe immédiatement. J’ai hâte d’y goûter.

« Tu nous sers ? »

Je lui tends la bouteille, préférant ne pas prendre le risque de le faire moi-même. Ce serait trop bête de tout renverser sur la table juste pour faire mon intéressant. Et puis, le vin me permettra peut-être de me détendre un peu ?

(c) BlackCat

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Because your butt is my obsession

Sirus & James

Je me mordille encore plus la lèvre, détaillant le trouble sur son visage, j'ai la satisfaction de voir que je lui fait toujours autant d'effet. Il rougit, j'ai du mal à résister à lui voler un baiser. Mais non pas encore, le moment viendra plus tard. Sa voix se fait hésitante, mais il affirme aimer le vin. Et avoir hâte de le goûter. Moi aussi j'ai hâte de le goûter. Mais je suis certain que mon esprit n'envisage pas le vin. Mes muscles sont affreusement tendus, je n'ai que l'envie de le toucher.

Sirius n'est visiblement pas de cet avis car il s'éloigne, rouge. Un nouveau sourire s'épanouit sur mes lèvres. Je suis ravi et amusé. Pour parer à son trouble, il répond comme s'il n'avait pas compris mon sous-entendu, me demandant ce qui me ferait envie. J'ai envie de glousser mais je me retiens.Si je réponds honnêtement il va me mettre à la porte.

« Disons que la même chose que toi ce sera très bien. »

Je m'écroule dans le canapé avant d'adresser un regard au doux Floki qui n'a pas bronché. Je me demande s'il est du genre protecteur, si jamais je tente une approche plus collée-serrée de son maître. Pensif, je distingue à peine le bruit des tiroirs et portes de placard dans la cuisine. Mon regard continue de parcourir l'espace. Il a dit qu'il était peintre. Est-ce que c'est ce qu'il y a au mur ? Ses pas me font tourner la tête dans sa direction, il revient chargé de verre à pieds et d'un tir bouchon. Je l'observe tout déposer à quelques centimètres de la bouteille. Puis il vient vers moi, contournant la table basse pour s'enquérir d'une place dans le canapé.

J'ai horriblement envie d'en profiter pour me mettre sur son chemin exprès, mais...Je préfère attendre qu'il vienne de lui-même se coller contre moi. Je doute qu'il puisse me résister très longtemps. Je serais déjà à la porte sinon. Il poursuit la discussion, je hoche la tête.

« Asiatique, ça me va, si c'est japonais. Je connais un excellent restaurant qui fait à emporter aussi. Tu veux que je passe commande ? »

Je dégaine mon smartphone et clique directement sur l'application mais mon regard est attiré par Sirius qui s'est emparé de la bouteille pour l'ouvrir. Je souris. Il a un bon coup de main. Le bruit que fait le bouchon de liège une fois retiré est délicieux. Je salive d'avance. A la requête de Sirius je prends délicatement la bouteille de ses mains et tout en servant je lance :

« Le poulet et le poisson se marient très bien avec la saveur fruitée et boisée de ce vin. Qu'est-ce que tu préfères ? Sinon on peut commander les deux et partager. »

Je repose la bouteille, satisfait de la qualité de mon service. Je m'empare des verres pour en donner un à Sirius, en essayant de chasser les pensées qui envahissent mon esprit. La seule chose que je retiens de ma génitrice c'est la connaissance des vins. Mais elle ne mérite pas que je pense à elle, ni même un semblant de reconnaissance pour m'avoir appris quelque chose. J'essaie de retrouver un visage souriant, au moins neutre, histoire de ne pas inquiéter Sirius qui, je l'ai bien compris est capable de tout voir au son de ma voix.

« Tiens. »

Une fois assuré qu'il le tient parfaitement bien, je m'autorise à faire tournoyer légèrement le vin dans mon verre et d'admirer la couleur dorée de sa robe, oubliant mon amertume. La délicate odeur qui s'échappe de l'ouverture du verre chatouille mes narines, me tentant de le goûter. Mais d'abord, je veux trinquer avec mon hôte, vers lequel je me tourne complètement, cherchant à capter son attention.

« Sirius ? On trinque ? »

MademoizelleZ

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James & Sirius

Because your butt is my obsession

J’essaie de me détendre un temps soit peu après avoir passer la bouteille à mon amant d’un soir. Mes mains sont horriblement moites, c’est atroce, je déteste ça. Je les essuie sur mon jeans dans un geste discret, m’armant à nouveau d’un sourire pour répondre à sa question pour notre commande.

« Oui, je veux bien. Commander les deux et partager me tente bien. »

J’étire mon sourire. Je crève de faim et malgré ça je ne suis pas certain d’arriver à avaler quoi que ce soit pour le moment. Mise à part le vin, qui apparait magiquement dans ma main lorsque je comprends que James à fini de nous servir. J’analyse son arôme, découvrant pleinement les odeurs fruitées et boisées que me décrit mon égaré. En vérité, je ne m’y connais pas du tout. Mais alors, vraiment pas. Alors je profite juste de ce que mon nez découvre et apprécie. Je me demande de quelle couleur il peut être... Ma question s’envole de mon esprit aussi vite qu’elle est apparue alors que James réclame mon attention. Trinquer ? Evidemment. Armé de mon sourire mal assuré, je lève mon verre à sa rencontre, attendant patiemment le tintement des verres avant d’entamer le moindre mouvement jusqu’à ma bouche.

« A toi, qui débarque chez moi en moins d’une demi-heure. On me l’avait jamais faite. Chapeau. »

Mon rire éclate légèrement à la fin de ma phrase. J’essaie de détendre l’atmosphère. Ou plutôt de me détendre, moi. Je peux sentir son aura m’entourer avec une tension que j’ai dû mal à ignorer. James n’est pas là pour le diner. Je peux sentir à quel point il est déjà pressé de passer à la suite alors qu’il vient à peine d’arriver. Tu t’attendais à quoi Sirius ? James n’est pas le genre de gars à ce prendre la tête. Tu savais ce qu’il voulait avant même de lui dire que tu étais libre. Oui, je le sais. Très bien. Et si une partie de moi brûle de le sentir plus proche, l’autre se bat encore avec ma tête pour savoir si c’est une bonne idée ou pas. Il est encore temps de reculer, encore tant de le renvoyer chez lui si c’est ce que je veux vraiment. Sauf que je n’ai aucune idée de ce que je veux. Absolument pas la moindre. Ce que je sais en revanche, c’est à quel point j’ai hâte de me noyer dans ce vin que je me retiens de vider pour arrêter de réfléchir. Au moins quelques minutes.

D’ailleurs, ce vin, est absolument délicieux. Mes papilles sont ravies, goûte le breuvage longuement avant de doucement reposer le verre sur la table. Et maintenant ? J’entends une musique jazzy étouffée provenant encore de la salle de bain. Merde. J’avais oublié. Je me lève d’un bon, rejoins la pièce pour y éteindre la stéréo avant de revenir. En soit, mettre un peu de musique, c’est loin d’être une mauvaise idée. Alors, plutôt que de me rasseoir, je me glisse jusqu’à mon installation pour l’allumer, hésitant sur mon choix.

« Tu as une préférence ? J’écoutais du jazz avant que tu n’arrives. Ca te convient ? Viens choisir ce qui te fera plaisir. »

Je prêtais une oreille attentive aux moindres mouvements, au moindre bruit me donnant un indice sur ses actions. Il me fallait encore une gorgée de vin, vite.

(c) BlackCat

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Because your butt is my obsession

Sirus & James

J'ai beau essayer de chasser des pensées moroses et servir avec application le breuvage doré, je remarque quand même le mouvement furtif des mains de Sirius du coin de l’œil. Je ne sais pas ce qu'il essaie de cacher mais je le vois s'essuyer les paumes de ses mains sur son jean. Oh c'est peut-être parce que la bouteille qui est un peu humide. Mais c'est étonnant, elle était à température ambiante...Oh. Il est stressé. Merde, je le mets si mal à l'aise que ça ? J'essaie de ne pas y penser en lui tendant le verre. Il n'en a pourtant pas l'air, juste...troublé. Si je lui plais c'est normal. Non ?

Sirius est d'accord pour partager la nourriture, ça suffit à me remettre dans de bonnes dispositions. J'ai hâte de mettre des choses dans sa bouche. Je me mordille la lèvre avec envie. Pour le moment, je le laisse découvrir le vin à sa manière. Nous trinquons enfin. Je pouffe alors qu'il en revient à mon débarquement impromptu chez lui, éclatant de rire.

« A toi qui a pris le risque de m'ouvrir ta porte ! »

Je laisse le son du tintement de nos verres se disperser avant de reprendre.

« Je ne pouvais pas savoir que j'habite si près de chez toi. »

Et c'est plutôt pratique... Je souris avant d'enfin goûter le spiritueux qui enveloppe ma langue, stimule mes papilles. Il est absolument délicieux. Je laisse échapper un soupir de satisfaction.

« Vraiment c'est une bonne cuvée, le vendeur ne m'avait pas menti. J'espère qu'il te plaît autant qu'à moi, le vin je veux dire. »

Et puis il se lève. Quoi j'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? Il s'éloigne et je le suis des yeux avec curiosité. Quelle est donc cette pièce ? En tout cas, il revient peu de temps après et se place devant une chaîne stéréo. Cool, on va pouvoir créer une meilleure atmosphère. J'en profite pour commander nos plats. D'ici une demi-heure, ça devrait arriver. Mon beau brun me demande de venir choisir, je dépose le verre sur la table basse.

« Oui ça me va. Attends, j'arrive. »

Je m'approche et fait défiler les titres jusqu'à trouver une de mes chansons préférées. Plutôt blues que jazz, mais ça passera crème. Make it rain a un côté nostalgique mais en même temps diablement sensuel. Et puis la voix rauque (and roll) de Foy Vance ne gâche rien. J'attends patiemment que la musique démarre avant de venir délicatement attraper la main de Sirius et l'attirer contre moi. Pourquoi ne pas danser un peu ? Je me penche doucement à son oreille pour murmurer :

« M'accorderiez-vous cette danse ? »

MademoizelleZ

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James & Sirius

Because your butt is my obsession

Sa remarque sur le vendeur traine dans ma tête. James se sent toujours obligé d’en faire des tonnes avec ses conquêtes, visiblement. Ce n’est pas la première fois. Déjà à la Licorne, ce fameux soir, ça ne m’avait pas échappé, cette manie de vouloir prouver à quel point il avait du succès auprès des hommes, à quel point il prenait ça avec légèreté. C’était un trait de sa personnalité qui s’avérait presque totalement absent lorsque nous nous croisions dans ses rêves. Le vrai James, celui pour lequel j’avais tellement d’affection, celui qu’il n’osait visiblement pas montrer aux premiers abords, était bien loin de cette image de beau gosse que rien n’atteint qu’il adorait montrer. Ça me déconcertait, en fait. Je n’avais pas envie qu’il soit comme ça avec moi. Je n’avais pas envie qu’il entretienne cette façade lorsque nous étions ensemble. Encore moins d’être un simple numéro parmi tant d’autres. Même si ce serait sans doute bien plus facile comme ça. J’étais partagé, une fois de plus. N’être qu’un coup pour lui avec ses avantages. Mais cela me laissait un goût beaucoup trop âcre dans la bouche.

James approche enfin, j’entends ses pas arpenter le plancher pour me rejoindre. Je sens son parfum attaquer à nouveau mes narines lorsqu’il se retrouve à ma portée. Je ferme les yeux, juste pour en profiter quelques secondes, avant que sa main ne s’empare de la mienne sans que je m’y attende, me faisant prendre conscience de la musique qu’il a choisi. Excellent choix. Un sourire appréciateur s’étale sur mes lèvres, mon corps se tourne à la rencontre de mon beau brun m’invitant à danser d’un murmure à mon oreille. Il m’électrise de sa voix horriblement tentante. Enfin, le déclic se fait en moi, j’arrête de me poser mille et une questions.

« Avec plaisir. »

La voix du chanteur s’étire dans les airs, ma main libre se glisse jusqu’à son épaule musclée. James a vraiment un corps à tomber, ça, je ne peux pas dire le contraire. Il me suffit de ça pour faire naitre une envie brute de lui dans mon ventre. A côté de lui, je suis une brindille. L’idée même qu’il n’ai aucun mal à me faire décoller du sol pour me posséder à même mon canapé s’il le voulait brûle toute pensée raisonnable encore présente dans mon esprit. Et puis après tout, c’est bien pour ça qu’il est là non ?

« Pourquoi ce soir James ? Je veux dire... Et la Licorne ? »

Pourquoi moi ? Pourquoi moi alors qu’il a sans doute des centaines de mecs à ses pieds qui eux, ne sont pas aveugle ? Pourquoi maintenant ? J’avouais être encore surpris par sa décision. Je n’aurais jamais pensé qu’il était sérieux lorsqu’il m’avait laissé son numéro. J’avais cru qu’il le faisait... par habitude. Alors pourquoi ?

(c) BlackCat

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Because your butt is my obsession

Sirus & James

Je suis presque étonné qu'il ne se fasse pas désirer plus que ça. Mais je ne vais m'en plaindre, loin de là. Je garde sa main dans la mienne tandis que l'autre vient attraper sa hanche. J'en profite pour me rapprocher, frissonnant à la sensation de sa main qui vient prendre place sur mon épaule. Je démarre un mouvement lent qui ressemble à une valse avant de l'inviter à se coller contre moi, ma joue contre sa joue. Je ferme les yeux un instant, pour savourer l'atmosphère qui nous enveloppe, pour humer le parfum de la peau de Sirius, je me laisse aller. Et puis je rouvre brusquement les yeux.

La question de Sirius m'interpelle. Merde merde, elle aurait pu paraître innocente. Mais elle ne l'est pas. C'est évident. Et quelque part, je me la pose aussi. Je suis supposé être dans ma boite préférée à draguer tout ce qui bouge et à la place je profite d'un moment calme et sensuel en compagnie de ce gars que j'ai rencontré il y a à peine une semaine. Est-ce que c'est parce qu'il était divinement bon au lit ? Je peux me dire que oui, si je veux me voiler la face. S'il me pose la question, c'est certainement parce que j'ai été assez con pour faire mon vantard devant lui. Pourquoi j'ai fait ça ? Il faut que je trouve quelque chose à répondre. Il est évident qu'il ne se contentera pas d'un je sais pas, un je sais pas qui risque de foutre en l'air la soirée. J'ai pas envie de partir, du moins pas sur ce genre de conversation. Je m'écarte un peu pour le regarder avant de lui répondre avec le plus grand des sérieux.

« J'avais pas envie de l'ambiance de la Licorne. J'avais envie de te voir. »

C'est totalement vrai. Je serais bien allé au Keegan's mais avouons-le, pourquoi raconter à Seamus que mon beau brun ne m'a pas rappelé et que j'ai terriblement envie de le revoir si je peux tout aussi bien directement aller voir celui qui occupe mes pensées ?

« Et puis tu ne m'as pas rappelé, alors je l'ai fait. »

Je hausse légèrement les épaules. Il occupe un peu trop mes pensées. Je n'arrive pas à déterminer pourquoi il est si spécial. Le meilleur moyen c'est de passer du temps avec lui. Finalement, je m'excuse quand même.

« Désolé d'avoir débarqué comme ça chez toi. Ça fait mal élevé pas vrai ? Mais si ça t'embête, je peux repartir. N'hésite pas à être direct avec moi. »

Mes doigts se referment un peu plus sur les siens, mon regard scrute ses expressions. Ne me demande pas de partir s'il te plaît.

MademoizelleZ

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James & Sirius

Because your butt is my obsession

James se crispe à ma question. Merde. Sirius, tu devrais vraiment apprendre à fermer ta gueule. Surtout dans une telle situation. Sauf que c’est plus fort que moi. Je veux savoir. Je veux qu’il réponde. Qu’il m’avoue la véritable raison de cette soirée totalement improvisée. Je me laisse aller dans ses bras, à travers cette valse légère qu’il nous impose, ignorant mon coeur ayant doublé sa cadence dans ma poitrine. James s’éloigne, je sens son regard ce poser à nouveau sur moi alors que je relève la tête comme si je pouvais le voir. Me perdre dans ses yeux me manque. Atrocement.

Sa réponse me fait déglutir difficilement, me faisant rougir par la même occasion. Encore. Je ne sais pas quoi en penser. L’information chahute mon coeur beaucoup trop à mon goût. Le souvenir cuisant de notre baiser dans les songes se rappelle à moi, se mélange à la soirée à l’hôtel que nous avons vécu il y a peine quelques jours. James avait envie de me voir. Moi. Parmi tous les autres. Sa remarque à propos du fait que je ne l’ai pas rappelé me torture un peu plus.

« Je sais. Désolé. Sincèrement, je ne pensais pas que c’était vraiment ce que tu voulais. J’étais persuadé que tu étais déjà passé à autre chose, en fait. Je ne pensais pas qu’il y aurait une suite à cette soirée. »

Pour le coup, je ne peux pas être plus sincère. Peut-être un peu trop, en fait. Je me sens vulnérable en un coup. James continue sur sa lancée, s’excuse finalement d’avoir débarqué sans prévenir. Il m’arrache un sourire amusé. Ma main emprisonnée dans la sienne s’extirpe pour s’imposer sur son épaule, réduisant à nouveau l’espace entre nos corps. Je me colle à lui, laissant mes doigts glisser jusqu’à sa nuque, échouant dans ses cheveux dans lesquels je me perds.

« T’en fais pas pour ça. Tu m’as juste totalement pris de court. Tu peux rester. Pour le moment. »

Je lâche un éclat de rire à ma phrase. Reste James, peu importe les conséquences que cette soirée pourra avoir. Je n’ai aucune envie de me prendre encore la tête. Mes doigts appuient sur sa nuque, le rapproche encore de moi alors que je me hisse à sa hauteur, volant ses lèvres dans un élan totalement improvisé. L’embrasser m’a manqué. Ma main libre s’invite sur sa mâchoire, la caresse d’un mouvement tendre alors que je ne cherche même pas à chercher sa langue. Nous avons toute la soirée pour ça.

(c) BlackCat

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Because your butt is my obsession

Sirus & James

Le voir désolé me donne l'impression de lui avoir lancé un gros reproche alors qu'en fin de compte, je lui explique juste la situation. Mais sa réponse me perturbe bien plus que son expression. Il n'avait pas cru que je voulais vraiment le revoir. Alors, c'était cette impression que je lui ai laissé. Celle du gars qui prend et s'en fou. Merde. Est-ce que je suis vraiment comme ça ? Probablement. C'est totalement mérité.

« Et moi je suis désolé de t'avoir laissé cette impression. J'ai vraiment passé un très bonne soirée avec toi. Ça faisait longtemps que j'étais pas tombé sur quelqu'un comme toi. »

Et je ne parlais pas que du sexe. Depuis quand je suis si sincère ? Depuis quand je dis des choses qui ressemblent à des déclarations ? Il faut que je fasse attention. Mais j'y peux rien, en sa présence, je me sens incapable de mentir. Et puis... je sais pas, j'ai cette impression que je peux tout lui dire. Il me rappelle quelqu'un pour qui j'ai beaucoup d'affection. Est-ce que j'ai tors de penser ça ? Mes excuses le font sourire. Cela rappelle le mien. Et puis il lâche ma main pour venir la poser sur mon épaule. Il se rapproche de moi, faisant taire les bêtes questions avec une réponse que je n'aurais même pas espérée.

Sa main se fait autoritaire sur ma nuque, ses lèvres se tendent vers moi. Mon sourire s'estompe et mes paupières se ferment alors que je viens lui répondre avec une nouvelle fougue. Ma bouche s'amuse de la sienne, tendrement. Un long frisson me parcourt à la caresse de sa main. Mes doigts orphelin des siens depuis quelques instants se glissent alors dans ses cheveux encore légèrement humides. Ma main, toujours sur sa hanche se glisse plus dans son dos, le rapprochant de moi. J'ai terriblement chaud désormais. Le désir est présent et les braises de la passion sur le point de prendre feu. Mais je dois me retenir.

Mes lèvres se détachent des siennes un instant avant de les reprendre avec plus de fougue, cette fois ma langue part à la rencontre de la sienne, et mon étreinte se fait plus intense. Mais... il semble que j'en ai trop demandé. Je me retrouve séparé de Sirius par une truffe humide. Encore haletant, je baisse les yeux sur Floki qui se met à couiner. A la fois agacé et amusé je lâche :

« On dirait qu'il y en a un autre qui veut des câlins.... »

La sonnette d'entrée retentit au même moment.

« Ou alors il nous a gentiment prévenu de l'arrivée du dîner ! »

Je pouffe cette fois. Ma main caresse la joue de Sirius, se glisse sous son menton avant que mes lèvres n'effleurent les siennes.

« J'y vais. »

Je me dirige vers la porte, laissant Floki aux bons soins de son maître avant d'ouvrir. Une jeune femme se présente avec la commande, me saluant d'une voix claironnante. Je lui paie ce que je lui dois et referme rapidement. Le Saint Graal entre les mains, je me dirige vers la table basse pour le déposer.

« Prêt à manger ? »

MademoizelleZ

INSCRIT DEPUIS LE : 12/07/2018 MESSAGES : 85 POINTS : 1828

James & Sirius

Because your butt is my obsession

James réponds à mon baiser, avec cette tendresse mêlée de fougue qui me fait complètement fondre. Lorsqu’il reprend mes lèvres, la tendresse s’éclipse doucement, laissant place à la passion animant nos langues prendre de plus en plus de place. Mon corps se cambre contre lui, mes doigts quittent sa mâchoire pour glisser dans son cou, puis descendre sur son torse. Je redécouvre ses muscles à travers son t-shirt, brûle déjà de le lui enlever pour pouvoir mieux accéder à sa peau appelant a être toucher. Mais, c’était sans compter Floki, qui non content d’avoir suffisamment d’attention, n’hésite pas une seule seconde à s’insinuer entre nous, brisant le moment dans son apogée. La respiration de James trahit son excitation alors que je lâche un nouveau rire, tout aussi essoufflé. C’est peut-être mieux ainsi. Ca me laisse le temps de reprendre brièvement mes esprits alors que sonnerie détestable de mon appartement résonne avec force, me faisant sursauter au passage. Est-ce qu’un jour je m’y ferais ? Pas sûr.

James m’abandonne à mon sort le temps d’aller récupérer notre commande. J’avais presque déjà oublié cette histoire de diner. Pourtant, l’odeur s’infiltrant dans mes narines réveille mon ventre dans un gargouilli significatif. Mon sourire s’imprime à nouveau sur mon faciès à l’entente de la voix de mon amant.

« Oh que oui ! »

Mes mains glissent dans mes poches arrières avant que je ne m’avance dans le salon, allant me rasseoir à ma place initiale sur le canapé. Toutes ses odeurs sont un véritable délice pour les sens. J’ai hâte de goûter à tout ça, même si je n’ai aucune idée de ce que James déballe sur la table. Je ne doute pas une seule seconde des goûts de mon amant. Je lui fais entièrement confiance là dessus. J’en profite pour récupérer mon verre, buvant une gorgée du vin à l’arôme boisé avant de le reposer à sa place. Mon attention se tourne vers mon égaré, mon sourire flottant toujours sur mes lèvres.

« Alors, qu’est-ce que tu nous a commandé de bon ? »

(c) BlackCat

INSCRIT DEPUIS LE : 18/07/2018 MESSAGES : 168 POINTS : 2087

Because your butt is my obsession

Sirus & James

Je laisse échapper un petit rire amusé quand j’entends le ventre de Sirius crier famine et lui affirmer qu’il est prêt avec la plus grande des convictions. Tant mieux. Pendant qu’il revient s’installer près de moi je déballe le contenu du sac avec application. Je répartis chaque plat sur la table basse en m’assurant que Floki ne lorgne pas dessus. Il est mignon mais faut pas exagérer. Je vois la main de Sirius s’emparer de mon verre de vin, qu’importe, il y a la même chose dedans. Et on est plus à ça près. Un sourire au coin de la bouche à la question de Sirius, je m’empare d’un sushi au thon entre mes baguettes et me tourne vers lui, le ton joueur.

« Et si tu t’amusais à deviner plutôt ? »

De toute façon, il sait plus ou moins sur quoi il risque de tomber. J’attends son accord avant d’approcher le sushi de ses lèvres.

« Tu peux y aller. On commence simple. »

Finalement, je n’aurais même pas besoin de lui mettre un bandeau sur les yeux pour faire ce genre de jeux. Mais peut-être que je devrais quand même, ça rendrait les choses plus érotiques. Mhm… laissons ça pour plus tard, c’est déjà très bien comme ça. Et puis regarder ses lèvres prendre délicatement le sushi en bouche m’émoustille suffisamment comme ça. Je ne sais pas combien de temps j’arriverais à le regarder faire sans chercher à passer à l’étape supérieure. Je me mordille la lèvre, l’observant.

« Comment tu trouves ça ? »

Je sais que dans ce restaurant le poisson est toujours extrêmement frais et leur thon est délicieux. Il fond sur la langue et se lie très bien au sucré salé du riz collant. D’ailleurs, je n’hésite pas à en prendre un également, savourant le met. Après quoi j’engloutis une gorgée de vin. Ravivant la saveur du poisson sur mes papilles. Je n’ai rarement été aussi bien qu’en mangeant quelque chose de bon en compagnie d’un gars aussi sexy et charmant. Je tends un verre à Sirius.

« Tiens essaie de reboire du vin maintenant. Tu verras c’est sympa comme mélange de goûts. »

MademoizelleZ

INSCRIT DEPUIS LE : 12/07/2018 MESSAGES : 85 POINTS : 1828

James & Sirius

Because your butt is my obsession

Ca proposition me déstabilise légèrement. Mais je devrais m’y attendre, venant de lui. Un nouveau jeu. Il adore ça, visiblement, jouer avec moi, de toutes les façons possible. Et maintenant que je suis un peu plus détendu, je ne vois aucune raison de me refuser à lui. Je me laisse tenter par la proposition de mon égaré, ouvrant finalement la bouche pour accueillir le met que je le sens faire mine d’approcher de mes lèvres. Le riz atterri sur ma langue, je ferme la bouche en tentant d’être le moins gêné du monde par un tel geste, glissant ma main sur mes lèvres pour cacher ce qui pourrait en tomber. Mon palais déguste le sushi, je ne peux m’empêcher de m’exclamer de contentement. C’est vraiment délicieux, il n’y a pas à dire, il a très bien choisi.

« C’est super bon ! »

Franchement, je me régale. J’en veux encore. J’en veux plus. Je fais mine d’ouvrir à nouveau la bouche pour recevoir à nouveau mon offrande mais je la referme bien vite, suivant les conseils de James qui me glisse mon verre entre les mains. Je lui fais une confiance aveugle. C’est le cas de le dire. Mon sourire s’étire en douceur sur mon faciès avant que le liquide aux accents boisé glisse sur ma langue, aiguisant plus encore les saveurs dans mon palais. Il a raison, c’est d’autant plus délicieux.

« T’as raison, c’est encore meilleur. La nourriture, c’est vraiment un sujet que tu maitrises, visiblement ! »

Je ne peux pas m’empêcher d’en rire légèrement. Ca le rend adorable, d’être aussi passionné par quelque chose d’aussi simple. Et je suis d’autant plus ravi de pouvoir partager un moment comme celui-ci avec lui. Purement et simplement.

« Encore ! »

J’ouvre à nouveau la bouche, glissant cette fois ma langue sur ma lèvre pour y recueillir les dernières traces du vin qu’il m’a fait découvrir. J’ai hâte de goûter à la suite, ignorant royalement les envies perverses qui s’étirent au creux de mes pensées à la seule idée qu’il puisse trouver ce petit jeu aussi diablement excitant que moi. Il a vraiment l’art de me mettre dans tous mes états en un claquement de doigts. Patience Sirius, patience. Le dessert viendra bien assez vite pour ne pas vouloir précipiter les choses tout de suite.

(c) BlackCat

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Because your butt is my obsession

Sirus & James

Je me mordille les lèvres en observant Sirius, il apprécie ce moment autant que moi. Je le vois ouvrir la bouche pour réclamer avec amusement mais je suis déjà en train de lui proposer de boire un peu de vin. Il obtempère sans discuter. Soudainement j'ai envie d'être ce verre qui vient épouser la forme de ses lèvres. Mes prunelles s'attardent sur sa pomme d'Adam qui s'agite à chaque gorgée, à la délicatesse de son cou offert à ma vue tandis qu'il soulève son menton pour boire. Sa reprise de parole me sort de ma sensuelle torpeur. Mon rire rejoint le sien.

« Il paraît oui. »

Je jette un regard à mon ventre et ce bout de gras dont je n'arrive pas à me débarrasser aussi rapidement que je le souhaiterais. Mes yeux se reposent ensuite sur Sirius dont la frimousse adorable se tourne de nouveau vers moi avant de réclamer de la nourriture. Je retrouve bien vite de l'entrain.

« Tout de suite chef ! »

Heureusement pour lui que je n'aime pas gâcher la nourriture, le voir passer sa langue sur ses lèvres comme ça ! Raah...est-ce qu'il le fait exprès ? Mon corps entier se tend d'un désir que j'essaie de contenir. Mes sourcils se froncent un instant avant de sourire de nouveau. C'est meilleur si on attend. Je me prends au jeu, je lui donne à manger jusqu'à ce que l'on en finisse avec le poisson, tout ça en me retenant de me jeter sur sa délicieuse bouche si souvent offerte.

« Hum, on a terminé le poisson ! Tu as encore faim pour du poulet ? »

Je rigole un peu avant de jeter un œil sur la bouteille de vin.

« En fait on peut peut-être finir le vin, y'en a presque plus... »

Je nous resserre un dernier verre. Regardant avec émerveillement les petites gouttes dorées du vin s'échapper du goulot pour rejoindre le verre. Je crois que l'alcool m'atteint un peu maintenant. Étonnant ça, je tiens mieux d'habitude. Je lui tends de nouveau son verre avant de me coller un peu plus à lui pour boire. Je repose mon verre vide sur la table basse avant de tourner mon visage vers lui. Ça me chagrine d'être aussi bourré maintenant. Je vais avoir du mal à me retenir de le toucher. Je fais un effort surhumain pour ne pas l'embrasser, attendant patiemment qu'il réponde et finisse son verre.

MademoizelleZ

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James & Sirius

Because your butt is my obsession

Nous nous prêtons au jeu délicieusement entamé. Je raffole de chacune des bouffées qu’il m’offre, arrosant le tout de vin par intermittence tout en veillant à qu’aucune ne m’échappe malencontreusement de ma bouche. Je lui souris, encore et encore, me sentant bien plus détendu lorsqu’il annonce qu’il n’y a plus de sushis au poisson disponible. Je lui offre une moue faussement boudeuse avant de me sourire à nouveau. J’ai chaud. Le vin me monte à la tête. Il faut que je fasse une petite pause, au risque de faire n’importe quoi. Je ne veux pas qu’il ai une mauvaise image de moi à cause de quelques verres de vin. J’entends pourtant qu’il resserre nos verres, après m’avoir signalé l’état de la bouteille. Ceci explique cela.

« Ca va pour le moment. On peut faire une petite pause avant de reprendre ? »

Je lui offre un nouveau sourire alors que je le sens se rapprocher. Il est assez près pour que je l’entende déglutir, reprenant sans doute une gorgée de son verre après m’avoir à nouveau glissé le mien dans ma main. Son parfum m’enivre les sens, sature mon odorat. Ca me donne envie de le toucher, de l’embrasser. Rien que de l’imaginer...

Pourtant, mon prochain geste est offert au verre que je tiens. Je le vide, l’imitant dans sa démarche, avant de m’en séparer sur la table basse avec toutes les précautions du monde. Une fois fait, je me tourne vers lui, le rouge aux joues. J’ai trop chaud. Beaucoup trop chaud. Dans un réflexe, j’entreprends de déboutonner ma chemise avant de me souvenir que je n’en porte pas. Hors de question de me mettre torse nu maintenant. Ce serait totalement déplacé. Je me retrouve un peu con pour le coup, ne sachant cacher ma gène. C’est stupide Sirius, tu recommence à te prendre la tête. Ma main glisse distraitement dans mes cheveux. Autant me concentrer sur l’essentiel. Sur James. En voilà une brillante idée.

« Désolé je... J’ai un peu chaud ahah. Le vin m’est monté à la tête. »

Un rire gêné s’échappe de mes lèvres alors que je me tourne plus franchement vers lui. J’aimerais le voir. J’aimerais déchiffrer son expression présentement. A défaut, je laisse mes doigts se glisser timidement à sa rencontre. Mes mains le frôlent, s’invitent sur son torse, pour mieux remonter jusqu’à son visage. Je veux qu’il m’embrasse, je veux sentir à quel point il en a envie, autant que moi j’espère.

« Embrasse moi... »

Je lui souffle ma supplie, à quelques maigres centimètres de son visage, avant de fondre moi-même sur sa bouche. Embrasse moi James. Je n’ai plus la patience d’attendre. Mes lèvres épousent les siennes alors qu’un soupir m’échappe, étouffé. Mes yeux se ferment par réflexe. Mon corps se rapproche encore du sien, épouse les formes de son corps, le surplombe rapidement. Je me laisse aller contre sa langue, glisse mes jambes par dessus les siennes pour mieux m’y asseoir à califourchon. Mes doigts s’invitent à la naissance de ses cheveux, dans sa nuque, pour s’y perdre ensuite. Je ne peux pas m’en empêcher, j’en crève d’envie.

(c) BlackCat

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Because your butt is my obsession

Sirus & James

« Ça me va ! »

Apparemment mon beau brun a suffisamment mangé. Il accepte le dernier verre de vin et m'imite dans ma démarche. Je ne peux m'empêcher de sourire à le voir ainsi, aussi détendu et puis, d'un seul coup, il a ce geste mécanique porté à son torse, celui qui semble vouloir défaire quelque chose. Mon sourire s'agrandit. Il a chaud. Moi aussi, j'ai très chaud. Et puis, ça ne doit pas l'aider, que je le colle ainsi. Pourtant, je ne me décolle pas de lui, hors de question. Je suis bien trop content d'être là où je suis. Sa main se perd dans ses cheveux. Il est gêné ? J'observe sa bouche avec envie, cette bouche qui se meut pour parler. Son rire provoque le mien.

« Moi aussi j'ai chaud ! »

Je ne bouge pas quand il se tourne vers moi. Je ne peux m'empêcher de le dévisager, lui et ses yeux qui essaient de me voir sans pouvoir le faire. Étrangement, cela ne me perturbe pas plus que ça. Toute l'expression de son visage exprime un désir croissant, un désir pour moi. Je le laisse explorer de la pulpe de ses doigts le petit sourire sur mes lèvres avant de fermer les yeux lorsque ses doigts se rapprochent de mes pommettes pour finalement s'emparer de mes mâchoires. Je frémis d'envie alors qu'il me réclame un baiser, son souffle sur ma peau. Mes mains viennent chercher ses hanches en réponse pour le rapprocher de moi, sans que je ne rouvre les yeux.

Pour mon plus grand plaisir, ses lèvres viennent s'emparer des miennes, son corps vient se presser contre le mien, me faisant frissonner, réveillant mon entre-jambe de plus belle. Il se fait entreprenant et je dois reconnaître que j'adore ça. Je l'attire contre moi, le serre alors que ma langue vient danser avec la sienne. Sa main s'accroche à mes cheveux, redoublant mon envie de lui. Je savoure le goût de sa bouche relevée à la douceur du vin, mais surtout à l'épice du désir qui croit en nous. Mes mains se faufilent sous son t-shirt quand déjà mes hanches remues malgré elles contre lui. Dommage que nous ayons encore tous nos vêtements... d'ailleurs, ne disait-il pas qu'il avait chaud ? Je saisis les pans du tissu pour le faire remonter jusqu'à ce que cela nous oblige à nous séparer pour que je puisse le lui enlever.

« Moi aussi j'ai chaud Sirius... »

Mon ton est presque suppliant. Va-t-il saisir mon sous-entendu et s'empresser de retirer le mien de t-shirt ? J'ai envie de sentir la chaleur de son torse contre le mien, je veux poser mes mains sur sa peau enflammée. Je veux pouvoir embrasser chaque parcelle de sa peau pour faire monter la tension. Je ne vais guère pouvoir le laisser me chevaucher ainsi plus longtemps.

MademoizelleZ

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James & Sirius

Because your butt is my obsession

Je souris contre ses lèvres en le sentant me retirer mon t-shirt devenu trop dérangeant à son goût. Je frissonne de son touché explorant la peau de mon dos, s’imprimer contre mon torse. Sa voix suppliante empli mon esprit alors que mon bassin se presse contre le sien, déjà tout aussi dur que je peux l’être. La chaleur de mon corps s’embrase d’autant plus, je me sens me consumer au seul appel de sa peau contre la mienne. Une nuit. Il n’aura fallu que ça pour que j’en devienne accro, à la délicieuse odeur qu’il dégage, qui m’attire comme un aimant. Mes doigts se frayent un chemin à la recherche du bord de son t-shirt, imitant son geste pour le lui enlever, l’envoyant dans un coin perdu de la pièce. Je frissonne en redécouvrant la texture de sa peau si tendre. Le bout de mes doigts le caresse, parcourt son torse jusqu’à ses épaules, remonte dans son cou, s’arrêtant juste là où ses battements de coeur sont les plus perceptible. Leur rythme m’ensorcelle, mes lèvres effleurent les siennes avec une tentatrice décadence. Je veux qu’il me désire autant que je peux le vouloir. Le rendre fou de mon toucher, de ma bouche que je lui refuse, de ma langue caressant la bordure de ses lèvres pour mieux s’en éloigner, provocante, préférant s’inviter le long de sa mâchoire que je parcours d’érotique baisers. Ma course se fini dans son cou offert, mes dents l’accrochent furtivement, le dévore en laissant mon bassin marquer un rythme arrogant contre le sien.

« Qu’est-ce que tu attends James ? »

Mon souffle se fait rauque à son oreille que je chatouille soudain. J’ai arrêter d’essayer de me contenir, j’ai jeter ma timidité au fond de mon verre pour ne plus lui offrir que mon désir brut et enflammé de lui. Prêt à le satisfaire. Avide de le laisser prendre possession de mon corps comme il l’a si bien fait la première fois. J’en raffole. A m’en faire frissonner d’appréhension.

(c) BlackCat

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Because your butt is my obsession

Sirus & James

Le tissu de mon t-shirt glisse enfin, libérant ma peau sous les mains habiles de Sirius. L'impatience du désir inassouvi gronde en moi et pourtant, je ne me jette pas sur lui, je prends le temps de savourer chacune de ses caresses. Nos lèvres s'effleurent, je me fais violence pour ne pas l'embrasser, pas encore. Je ferme les yeux et penche la tête en arrière.

« Hum.. »

Je pousse un soupir languissant alors que ses lèvres parcourent ma mâchoire, mon cou, que ses dents me titillent les zones les plus sensibles. Je ne m'amuse plus de la situation, mon corps est tendu à l'extrême, je me concentre simplement pour ne pas lui bondir dessus comme un prédateur. Son coup de bassin comme un défi m'arrache un autre gémissement. Il continue sur sa lancée, m'arrachant un sourire vorace. Sa bouche vient se glisser près de mon oreille et ses paroles me font brutalement ouvrir les yeux. Tu l'auras voulu.

Spoiler:

MademoizelleZ

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James & Sirius

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